Cou d'Oie du Périgord

farci à la plancha

S'il ne faut pas plus de 3 cailloux pour traverser un guet, il n'en faut pas davantage pour organiser un festin... Voilà le défi! Épurée mais assurant une belle présence, cette assiette concentre très justement la sophistication liée à l'élaboration des conserves de cou d'oie farci, et la grande sérénité qu'inspire la composition.

difficulté  
Préparation   10min
Cuisson   1h
Pers   4

Liste des ingrédients

Une boîte de cou farci d'Oie du Périgord,

un sachet de brisures de riz,

des radis roses,

un concombre.

Foie gras du Périgord

  1.  

    Ouvrez la boite de cou d'oie farci et extraire les cous de la graisse d'oie. Après avoir choisi et lavé les galets, tenez vous prêt à les faire chauffer dans un four à 150 degrés au moins une heure avant de servir.

  2. Vous pouvez laver, trancher le concombre et les radis roses (prévoyez 6 ou 7 rondelles de chaque par assiette), et les réserver au frais, prêts à être disposés. Réalisez ensuite vos rondelles de cou d'oie farci.

  3. Saisissez vos rondelles de cou d'oie farci à sec (sans graisse) dans votre poèle jusqu'à obtenir une belle coloration, et réservez les à température ambiante jusqu'au dressage de l'assiette. Une fois les galets en chauffe dans le four comme indiqué précédemment, dressez vos assiettes pour être prêtes à recevoir le cou d'oie farci quelques minutes avant de les servir.

  4. Vous pouvez vous inspirer de la photo pour disposer les rondelles de concombre et de radis. Garnissez vos ramequins d'un lit de brisures de riz sur lequel vous poserez vos galets chauds (pensez à utiliser vos gants isothermes ou votre pince pour assurer la manipulation).

  5. Il vous restera à poser vos rondelles de cou d'oie farci sur les galets sortis du four. Les galets réchaufferont doucement le cou d'oie farci et le maintiendra à bonne température, le temps de savourer des yeux et de partager l'expérience avec vos convives...

A propos du créateur de la recette

Chef
Philippe
Mesuron

Philippe Mesuron, il ne lâche rien. On le surnomme "La Machine". C'est avant tout un très gros bosseur et un amoureux des beaux produits du Périgord et des relations humaines. On dit de lui qu'il ne décroche jamais, même épuisé, il est toujours prêt à rendre service et à se lancer dans une discussion avec de nouvelles personnes ou un nouveau projet.

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